Le portrait de la traviata

DO JINKI

HARPER COLLINS POCHE

Séoul, dans un quartier résidentiel calme et sans ennui, une jeune femme Jeong Yumi est retrouvée assassinée, ainsi que son harceleur, d’une arme différente.

Un vrai casse tête…chinois pour les enquêteurs.

L’inspecteur Lee Yuhyon est dépêché sur l’affaire, aidé par « l’avocat de l’ombre » Gojin. Il est évident pour lavocat qu’une troisième personne est impliquée.

Alors si l’on devait comparer l’auteur (chose que je n’aime pas mais je le fais quand même 🤦‍♀️) je dirai qu’il s’est inspiré de l’univers d’Agatha Christie et de son célèbre Hercule Poirot.

Ici Gojin fait fonctionner ses petites cellules grises car les deux meurtres sont complexes, tirés par les cheveux et surtout aucun indice.
Les allers-venues des suspects sont décortiqués, mis à plat
Rien!
Ils sont toujours au point mort.
Le mystère est total, les rebondissements garantis.
Un huis clos tortueux

L’impression d’être dans un cluedo géant, les victimes sont identifiées, la pièce également, il ne reste que le meurtrier à trouver et c’est plutôt retors.

L’enquête, même si elle est bien menée, est un peu lente à mon goût. Je ne me suis pas spécialement attachée ni imprégnée de la culture. Ici la Corée du Sud m’est présentée à travers  » les bars à hotesse » et plus…si affinités.
Mais rien de plus.

Chose me concernant j’ai eu des difficultés à retenir les noms ou prénoms ceux-ci se ressemblant trop (j’ai le même souci avec les auteurs du Nord) alors je me suis parfois perdue.

Pour mon premier roman coréen la lecture fut mitigée mais la fin inattendue.
A voir si je réitère.

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