Cinabre

Nicolas Druart

Harper collins

cinabre

Couleur de l’hôtel le plus chic de Toulouse.

Couleur rouge sang ,
Couleur minéral,
Couleur fatal.

Un hôtel au charme envoutant, mystérieux, maléfique.
Le personnage du Roman qui delivrera ses secrets au fil des pages.

L’hôtel Ferdinand fut frappé par un épisode tragique en 1980, son propriétaire a massacré sa famille sauf le petit dernier Richard .

L’hôtel, malgré son passé, ouvre à nouveau ses portes.

Toulouse, la ville rose, une ville morte comme tant d’autres lors du premier confinement et Nicolas Druart a installé de notre quotidien dans sa trame. Cela donne encore plus de teneur au récit, d’ampleur.

Une ville où un meurtrier mystérieux tue au sabre.
Une ville où Elliot, jeune infirmier, n’a plus de nouvelles de son collègue et ami, disparu après avoir soigné une patiente de l’Hôtel Ferdinand.

Rien à voir tu me diras, c’est sans compter sur la grande maîtrise de Nicolas Druart pour nous piéger, nous torturer l’esprit, nous perdre dans un labyrinthe. Et finalement pour arriver à une fin totalement surprenante.

Visuel et immersif, tu marches dans les couloirs de l’hôtel recherchant son histoire, le rouge toujours présent t’oppresse, les murs se reserrent, l’atmosphère se fait lourde et te hérisse les poils, la tension est palpable et la peur te terrasse.

Un thriller de haute volée qui confirme le talent de l’auteur.
Un thriller à lire.

2 commentaires Ajouter un commentaire

  1. Totalement d’accord avec toi et j’en ai été d’autant plus surprise que je n’avais pas adhéré à son précédent ! J’ai adoré !

    Aimé par 1 personne

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